dimanche 6 novembre 2011

Poème de Chengdu

Chengdu, paisible comme un sommeil profond
Chengdu, il faudrait que je ne le réveille pas
Chengdu, il faudrait que tu y pénètres
Chengdu, plus colorée que l'arc-en-ciel
Chengdu, moins brillante que le soleil
Chengdu, c'est un cateau qu'on désire toute la vie
Chengdu, animée comme une soirée
Chengdu, il faudrait que je m'habille bien
Chengdu, il faudrait que tu m'invites à danser une valse
Chengdu, c'est une bague de fiançailles qu'on a envie de porter

1 commentaire:

  1. Grâce à ton poème,
    Chengdu, c'est aussi une ville qu'on a envie de découvrir !

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