La Première Sensation
La fête des lumières, une fête de sensations, de
convivialité et de l’art. C’est la phrase qui définie les quatre jours que j’ai
passée à Lyon, une manière d’appeler touriste, cultures, langues et etc.
Le week-end passé du 7 à 11 décembre le but de
Jean-François Zurawik, directeur du festival depuis 2005, a été atteint avec
succès « La gestion des flux est notre souci numéro 1, c’est une
préoccupation très spécifique à cet événement ». L’exemple le plus clair
était dans la Place Terraux, une organisation impeccable qui a permis à
plusieurs personnes de regarder le spectacle. Un spectacle qui projette les
images d’une femme depuis un cheval.
Autre spectacle importante qui a permis de désengorger
le centre-ville est le chemin dans le Parc de la Tête d’Or, un lieu idéal qui était
excellent pour vivre une histoire magique en compagnie de toute la famille, un
chemin irréel qui nous enseigne ou nous fait imaginer l’histoire du Parc.
En fait la Fête des lumières n’est pas qu’une fête en
honneur à Marie, mais c’est aussi une fête de solidarité lyonnaise,
l’opportunité de partager et de profiter toute une ville, et tous ensemble
crier « Vive Marie » en commémoration de ce matin de 1852, où chaque
année toutes les familles lyonnaises allumaient des bougies sur les bords des
fenêtres.
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